Dans une Ă©poque oĂč la bien-pensance atteint des sommets, le Haut Conseil Ă lâĂgalitĂ© entre les femmes et les hommes se vautre dans la propagande fĂ©ministe, ignorant superbement les voix discordantes. Son rapport annuel 2024 sur le sexisme en France dĂ©borde d’accusations sexistes contre ceux qui ne se prosternent pas devant l’autel de lâidĂ©ologie totalitaire quâest le fĂ©minisme actuel. Mais au milieu de ce marasme idĂ©ologique, nous pouvons rebondir sur des passages de ce rapport pour prendre le texte Ă contre courant et nous avons choisi dâĂ©voquer plus particuliĂšrement le cas des tradwives.
Ce rapport consacre sept misĂ©rables lignes dans un ocĂ©an de verbiage pour condamner ces femmes fiĂšres de leur choix traditionnel de rester au foyer. Les tradwives, loin des clichĂ©s de soumission, dĂ©fient les normes Ă©tablies en partageant avec audace leur vie quotidienne sur les rĂ©seaux sociaux. De TikTok Ă Instagram en passant par YouTube des femmes telles quâEstĂ©e Williams, Hannah Neeleman et Alena Kate Pettit cĂ©lĂšbrent leurs talents culinaires, leur dĂ©vouement envers leurs enfants et leur Ă©panouissement familial.
Mais pour les fĂ©ministes en sueur et le Haut Conseil Ă lâĂgalitĂ©, leur existence est une menace. En refusant de se conformer au dogme de la femme moderne, les tradwives sont accusĂ©es de promouvoir un retour aux injonctions conservatrices. Ridicule ! Leur choix n’est pas une rĂ©gression, mais une affirmation de leur libertĂ© individuelle, une protestation contre le dictat fĂ©ministe qui tente d’imposer Ă toutes les femmes un modĂšle unique.
Les tradwives embrassent leur féminité sans honte, tandis que les féministes, engluées dans leur idéologie étriquée, les vilipendent pour avoir osé choisir un chemin différent. Mais leur courage mérite notre admiration, car elles incarnent la véritable essence du féminisme : le droit de chaque femme à décider de sa propre vie, loin des diktats idéologiques.
Alors, tandis que les fĂ©ministes se dĂ©battent dans leurs contradictions et que le Haut Conseil Ă lâĂgalitĂ© s’enfonce dans son obsession idĂ©ologique, les tradwives continuent leur combat pour la libertĂ© individuelle. Leur voix, loin d’ĂȘtre Ă©touffĂ©e, rĂ©sonne comme un appel Ă la diversitĂ© des choix et des aspirations fĂ©minines. C’est cette diversitĂ© qui enrichit notre sociĂ©tĂ©, bien plus que les dogmes creux du fĂ©minisme orthodoxe.