🚨 Prisca Thévenot agressée mais d’autres victimes ne sont pas évoquées 💥

Il est profondément regrettable de constater que la violence continue de marquer la période électorale actuelle. Hier soir, Prica Thevenot, porte-parole du gouvernement, accompagnée de trois autres personnes constituant son équipe, a été victime d’une agression lors d’une opération de collage d’affiches électorales à Meudon.

Les macronistes ont constaté que des jeunes dégradaient des affiches. Invité à cesser ces actes, ces derniers sont parti en arrachant les affiches et en criant « sur le Coran, appelle tout le monde ». Ils sont revenus avec des renforts conséquents puisqu’ils étaient une vingtaine d’individus pour passer à tabac les quatres macronistes.

Virginie Lanlo, suppléante de Prisca Thevenot dans le cadre des élections législatives, souffre d’une plaie au bras. Un des militants présente une fracture de la mâchoire après avoir été frappés à coups de trottinette et de points. La porte parole du gouvernement n’a elle pas été atteinte physiquement.

Suite à la plainte déposée par Prisca Thevenot quatre personnes ont été interpellées dans la soirée, dont trois garçons âgés de 15 à 17 ans.

Cet incident souligne une fois de plus l’escalade inquiétante des tensions politiques dans notre pays. Cette attaque n’est pas seulement une atteinte physique à ces personnes, mais aussi une atteinte à la démocratie elle-même. Chacun doit pouvoir exprimer ses opinions et mener ses activités politiques sans craindre pour sa sécurité. Certes Prisca Thevenot est particulièrement horripilante. Elle a été plusieurs fois surprise en train de mentir ou de contester la réalité avec le plus parfait aplomb, elle est au coeur de faits étonnants avec les démissions d’une grande partie de membre de son cabinet et certains a apprenant son agression ce sont peut être dit « Karma » mais ce n’est pas pour autant qu’il faut souhaiter ou approuver des atteintes à sa personne. La violence n’a pas sa place dans le débat politique, et chaque citoyen a le droit de participer aux processus électoraux en toute sécurité.

Cependant, il est tout aussi important de reconnaître que cette agression n’est malheureusement pas un cas isolé. Des membres d’autres partis politiques ont également été victimes d’agressions similaires, mais ces incidents ont été largement passés sous silence par les médias et les responsables politiques. Cette disparité dans le traitement des actes de violence politique est préoccupante et inacceptable.

Ainsi en savoir Marie Dauchy, candidate du Rassemblement National, a été agressée sur le marché de la Rochette le même jour, ce dont la presse parle peu. Elle a été contrainte de suspendre sa compagne et présente un certificat médical certifiant 8 jours d’IT. Sa situation est donc objectivement plus grave que celle de Prisca Theveno et pourtant la plupart des médias placent ces faits sous embargos.

Les membres du Rassemblement national et de Reconquête sont d’ailleurs parmi l’offre politique actuelle ceux qui sont le plus en danger, aussi bien lors des opérations de collage que de tractages, mais pas seulement, la coalition islamo gauchistes en faisant leurs cibles principales.

Il est essentiel que tous les incidents de violence politique soient traités avec la même gravité, quel que soit le parti politique des victimes. La violence, d’où qu’elle vienne, doit être condamnée avec la même rigueur. L’intégrité du processus démocratique repose sur la capacité de chacun à participer sans peur ni intimidation.

Les agressions subies par les représentants de tous les partis politiques méritent une attention égale. Nous devons lutter contre la tendance à minimiser ou à ignorer les actes de violence en fonction des affiliations politiques des victimes. Une telle attitude non seulement dévalorise les souffrances des victimes, mais elle encourage également un climat de partialité et de division.

Il est crucial que les autorités, actuelles ou futures, prennent des mesures concrètes pour protéger les personnes et garantir un environnement sûr.

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