Le discours haineux de la gauche semble sans fin. Elle se complaît dans les paradoxes, signe évident de son aliénation. Comme Adrien Abauzit l’a brillamment exposé dans son livre « La Gauche est une Maladie Mentale », nous sommes en présence de personnes affectées par une forme de folie, dont certaines sont irrécupérables. Je compte d’ailleurs bientôt commenter cet ouvrage, soit dans son intégralité, soit en me concentrant sur certains points.
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Un des paradoxes les plus flagrants de la gauche réside dans son incapacité à respecter les cultures et traditions locales tout en se soumettant aveuglément à celles d’autres provenances.
Je vais illustrer ce paradoxe avec deux exemples. Le premier concerne l’utilisation du terme « petite » pour désigner les femmes. Comme je l’ai expliqué dans une vidéo précédente, cette expression, familière dans certaines régions de notre France comme la Provence, n’a rien de péjoratif. Elle est en réalité affectueuse, exprimant de l’affection et de la délicatesse envers la personne concernée. Mais pour ceux qui sont aveuglés par l’idéologie, cette réalité locale dérange. Ils vivent dans un monde irréel, façonné par leur idéologie. Ce trait de la gauche n’est pas nouveau ; il existait bien avant l’adoption du terme « gauche » tel que nous le connaissons aujourd’hui, lequel est apparu lorsque, en 1791, les partisans de l’opposition au veto royal siégeaient à gauche de l’Assemblée. Avant même cette époque, les concepts de gauche et de droite existaient, bien qu’ils n’étaient pas désignés ainsi et n’étaient pas limités à notre pays. Ainsi, le nominalisme, souvent associé à Guillaume d’Ockham mais pouvant remonter jusqu’à Aristote, repose sur la prise en compte de l’irréel, s’opposant à la conception réaliste ou platonicienne, qui prend en compte le réel. Pour l’instant, je me contenterai de ces quelques mots sur le nominalisme, précisant que j’ai déjà consacré une vidéo entière à ce sujet.
En refusant la réalité au profit de concepts idéologiques fantasmés, la gauche, comme dans le cas de l’affaire du terme « petite », méprise les coutumes et traditions locales, voire même la réalité d’une expression locale.
Prenons un autre exemple avec les corridas. Cette tradition, pratiquée encore aujourd’hui dans certaines régions de France, est l’objet de critiques de la part de la gauche, notamment des mouvements animalistes, écologistes et de La France Insoumise. Ces individus, souvent éloignés de ces régions, manquent d’ouverture d’esprit pour comprendre ces coutumes locales, qu’ils cherchent à abolir pour satisfaire leur idéologie. Sans prendre position sur les corridas, il est évident que les coutumes et traditions locales devraient relever d’abord des habitants de ces régions.
En parallèle de leur mépris pour les coutumes locales, ces individus se soumettent avec empressement aux cultures et traditions étrangères. La gauche, fervente défenderesse de l’immigration, accueille à bras ouverts des personnes venant d’autres contrées avec leurs propres cultures et traditions. Or, il est logique que ces personnes aient déjà leur propre bagage culturel, y compris des valeurs différentes sur le rôle des femmes dans la société. Malgré sa prétention à être féministe, la gauche montre ici, une fois de plus, son nominalisme. Emmanuel Todd l’illustre parfaitement dans son livre « Où en sont-elles ? ».
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Selon les recherches d’Emmanuel Todd, le statut de la femme est souvent plus précaire en Afrique, où le patriarcat est particulièrement ancré. Il est donc paradoxal pour la gauche, qui prétend promouvoir les droits des femmes, de soutenir une immigration en provenance de pays où la condition féminine est la plus défavorable de la planète. Cette volonté de concilier ces deux extrêmes démontre l’aveuglement de la gauche, préférant l’idéologie à la réalité et ignorant des contraintes évidentes.
En scrutant les nombreux paradoxes de la gauche, on peut discerner une tendance générale : sa volonté de détruire notre pays par tous les moyens possibles.